Par le milieu,
2020, crayon et fusain sur papier, dimensions variables
Sur le même plan, une infinité de lignes en mouvement s’agitent se rencontrent, dans un rythme discontinu. Des constructions provisoires et des tiges souterraines vivaces, à peu près horizontales, fixes ou mobiles, émettent des racines et des tiges aériennes. Aucune structure ne préexiste mais les connexions aléatoires formes petit à petit un ensemble, une cartographie en mouvement permanent.